Médisance gratuite : LE Dr CONSTANT OYONO EBANG DONNE SON AVIS SUITE À LA CABALE MÉDIATIQUE SUR FOND DE CHANTAGE FINANCIER SUR SA PERSONNE

Le Président-Fondateur du Groupe IHEM International fait l’objet d’une sérieuse cabale médiatique de la part d’un individu soit disant journaliste citoyen. Un journaliste aux méthodes d’un autre âge qui passe son temps à se défouler sur le Dr Constant Oyono Ebang avec une sorte de sorcellerie qui ne dit pas son nom. Le point d’orgue du vampirisme de ce pseudo journaliste est le fait que le Groupe IHEM a acquis son propre siège pour y loger son campus au quartier Bel Air, dans le 1er arrondissement de Libreville. Le Dr Constant Oyono Ebang est resté stoïque, mais il refuse de voir son honorabilité, sa dignité et son intégrité souillées par un journaliste en mal de visibilité, d’où il donne sa part de vérité sur ce que ce gratte-papier écrit ici et là.

En bon diseur d’aventures ou de nouvelles, le journaliste « citoyen » a raconté tout et n’importe quoi sur l’acquisition de cette parcelle où IHEM a érigé son nouveau campus siège. Face à ce que ce journaliste écrit et raconte un peu partout, le Président-Fondateur dudit Groupe ne peut laisser qu’un quidam continue à dire des contrevérités.

D’où, le Dr Constant Oyono Ebang tente ici d’éclairer la lanterne de chacun : « Lorsque j’ai acquis la parcelle de Bel-Air aux fins d’édifier le campus siège du groupe IHEM, je n’ai pas trouvé des tombes visibles et observables. » (Voir procès-verbaux d’huissier de constat et d’audition). Ni pour l’acquisition 1ère ni pour l’extension, comme veulent le faire croire les anciens propriétaires qui, après m’avoir pris beaucoup d’argent (40 millions de FCFA), tentent une fois encore de m’en soutirer. « N’ayant rien fait de concret avec tout ce qu’ils ont reçu comme argent en 2009 et 2016, donc il y a 16 ans ».

Autrement dit, le pauvre est victime de la mauvaise foi, non seulement du pseudo journaliste, mais aussi de ceux qui lui ont cède le terrain. Quant aux soi-disant profanations des tombes et agressions sur ce journaliste accusateur, le Dr Constant Oyono Ebang s’étonne, puisqu’il ne s’y reconnaît pas. « Je n’ai jamais proféré de menaces de mort contre l’intéressé que je ne connaissais ni d’Adam ni d’Eve. ».

Mieux, il n’a jamais défié l’autorité publique, notamment la DGR, d’autant plus qu’il déclare : « Je n’ai jamais refusé de répondre aux convocations de la DGR. ». Il se trouve que j’étais à Paris au moment où les convocations avaient été faites. L’enquêteur m’avait d’ailleurs joint par téléphone. Et à mon retour à Libreville, je m’y suis rendu en compagnie de mon avocat pour m’enquérir de la situation. Mieux encore, poursuit le Dr Constant Oyono Ebang : « Il ne s’agit pas d’une défiance à l’autorité. » Je n’avais pas été interpellé simplement. »Le président-fondateur du Groupe IHEM pense à une certaine conspiration enbandeorganisée, et pour cause, il renchérit : « Je crois qu’en effet, il y a une volonté manifeste de nuire à mes intérêts ».

Et que celui qui se dit journaliste « citoyen » en fait un peu trop, quand il raconte partout qu’il aurait été agressé. Le Dr Constant Oyono Ebang dit que ce journaliste « n’a jamais été agressé ni par moi ni par ma famille. Pour quelle raison, se demande til ? ». Il s’agit dun fantasme pour un individu en quête de visibilité et d’argent, un prestidigitateur, un vendeur d’illusion, un affabulateur, un charlatan de la plume. D’autant qu’« il n’a été agressé par personne ».

Il se trouve que mes enfants l’ont surpris en train de prendre des images d’une concession privée et même de mes enfants. Lorsque ces derniers lui ont demandé d’arrêter de les filmer, il a refusé d’obtempérer, poursuivant sa besogne et narguant les propriétaires d’une concession privée ayant un titre foncier. Cet individu est visiblement en quête de lisibilité.Pis : sur la convocation du Professeur Constant Oyono Ebang au parquet de la République du tribunal de première instance de Libreville, le vendredi 20 septembre, celui-ci est encore fort surpris par les raconteries du pseudo journaliste, puisqu’il déclare n’avoir « pas été instruit par l’enquêteur de la DGR sur le deferement de l’affaire au parquet à cette date ».

Par ailleurs, je sortais d’une hospitalisation qui demandait 7 jours de convalescence. Deux certificats en font foi. Le Dr Constant Oyono Ebang ne comprend pas que pour une affaire personnelle, ce journaliste prenne plaisir à chaque fois à mélanger le Groupe IHEM. « C’est une façon pour l’intéressé de porter atteinte à mes intérêts ». « Il s’agit pour moi d’un individu d’une quantité négligeable, un journaliste charognard», a surenchéri Dr Constant Oyono Ebang. Lequel termine et martèle qu’« Il s’agit à mon avis d’une cabale médiatique sur fond de chantage financier d’une petite personne en quête de notoriété et qui a besoin d’argent Un faux journaliste». pour conclure: «J’ai déposé moi aussi une plainte pour diffamation, exhortation à la haine, violences, atteinte à mon image et celle du Groupe IHEM »».

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