Le ministère de l’Enseignement supérieur avait fixé la date du lundi 16 septembre, comme celle de la rentrée académique 2024-2025, pour toutes les universités et grandes écoles privées du pays, sur toute l’étendue du territoire national. Une façon d’éviter une école à deux vitesses. La rentrée a été effective presque partout – en dehors de quelques réglages à l’allumage – telle qu’exigée par le département de l’enseignement supérieur.
Au Groupe de l’Institut des Hautes Études Managériales (IHEM), dont la réputation des enseignements et la qualité de l’offre de formation sont de notoriété publique reconnue et où la discipline est le maître-mot et les instructions de la tutelle respectées à la lettre, personnel administratif, enseignants et étudiants ont effectué leur rentrée académique autour d’une réunion pour mieux affiner l’année académique dont les activités ont commencé ce lundi.
Toute la communauté administrative et éducative du groupe IHEM a donc pris pied au campus. Tout le monde tenait à être présent ce jour de rentrée académique. Et comme il est désormais de coutume et institué par les autorités gouvernementales, le lundi matin, il y a la levée de drapeau. Ce qui a été fait ce lundi 16 septembre. Dans la grande cour du campus de Nzeng Ayong, dans le 6ème arrondissement, cet instant patriotique a été fortement respecté, à en juger par l’engouement de tout le monde. Après cette séquence de levée du vert-jaune-bleu, le président-fondateur dudit groupe, Dr Constant Oyono Ebang, a organisé la réunion avec le personnel et les étudiants. Des retrouvailles importantes pour chaque partie prenante, afin de fixer les esprits de ce qui est attendu et ce qui sera fait de la part de chacun dans ce campus dont le leitmotiv reste encore et toujours l’excellence.
Au cours de son speech, le président-fondateur, Dr Constant Oyono Obiang, a situé les uns et les autres. Pour ce faire, sur la symbolique de la levée de couleurs, il a déclaré : « La levée du drapeau chaque début de mois est un geste symbolique, simplement parce que c’est un rituel que nous faisions déjà avant que le CTRI ne soit en place, mais le CTRI a pris soin quand même de confirmer ce rituel, qui est un rituel républicain, pour que les uns et les autres s’imprègnent des valeurs de la République très fortement. » Et d’ajouter : « Chaque fin du mois, il faut faire descendre les couleurs.» Puis, le président-fondateur regretta de n’avoir pas pu faire le rituel habituel du culte d’action de grâce ce jour.Et d’indiquer : « Qu’il est important de placer L’année scolaire sous le contrôle de Dieu parce que c’est Dieu qui décide de toutes choses. » s’agissant de ce point, aura lieu en fin de semaine, surtout que le pasteur aumônier universitaire n’a pas été contacté à temps. Avant de préciser les éléments de langage de la réunion : « Alors, nous avons aujourd’hui une réunion de rentrée des classes ».
Et comme elles démarrent aujourd’hui, il faut fixer le cap. Il y a la liste des membres d’un cadre d’aumône administratif qu’il faut fixer, qui travaille cette année à l’IHM, qui n’y est pas.Quant au nouveau DGA du groupe IHEM Steeve Mounguengui qui a pris la parole après le président-fondateur, il a déclaré : « Aujourd’hui, lundi 16 septembre, conformément au calendrier du ministère de l’Enseignement supérieur, débute l’année académique 2024-2025. » Comme il est d’usage à l’IHEM, à chaque début d’année, l’administration, par le truchement du fondateur, reçoit les étudiants pour échanger avec eux. Alors, cinq principaux points ont constitué la trame de cette rencontre.
Steeve Mounguengui a décliné les axes forts de l’année académique encore et toujours sous le signe de l’excellence. Il en veut pour preuve que IHEM, à ce jour, a déjà obtenu : « plus de 10 000 diplômés, dont certains qui travaillent dans la plus haute administration ». C’est la preuve qu’à l’IHM, on forme très bien. C’est aussi la preuve qu’on peut être au Gabon, formé dans une école gabonaise. À l’IHM, vous recevrez une formation de qualité. Comme je disais tantôt, l’IHM a fait ses preuves. L’IHM a une qualité qui n’est plus à démontrer. Ce sera donc dans la continuité de ce qui se fait déjà.
kevin aymard Lelengui