La jeunesse gabonaise ne tient pas à rester cette dernière roue du carrosse par les temps qui courent, ces temps où le pays amorce un nouvel horizon sous la férule du Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI). C’est qu’autant, on insiste partout qu’il faut changer de mentalité dans la manière de faire, autant, il faut éviter de se jouer des autres.
Et dans la jeunesse gabonaise, regroupée au sein du Conseil national en la matière, il est plus que temps de responsabiliser les gens et surtout de canaliser les esprits. C’est que même dans les structures appelées à fédérer la jeunesse gabonaise autour des idéaux qui sont les leurs, on trouve encore des malins, à vouloir piétiner les textes qui régissent leur organisation-mère : le CNJG.
Au regard d’une certaine chienlit perceptible dans ledit Conseil, il fallait tirer les choses au clair, avec la convocation par le Bureau national exécutif et les organisations de jeunesse affiliées, d’une réunion au siège du CNJG, le mercredi 19 juin. Au menu de cette réunion : débattre sur la convocation de l’assemblée générale extraordinaire qui a abouti à l’élection d’un nouveau présumé président.
Une réunion expresse qui avait valeur de précision et de tirer les choses au clair, devant ce qui s’apparente à une forfaiture. Pour ne pas dire face à une imposture. Pour ce faire, lors de cette rencontre au sommet du bureau national exécutif et des organisations de jeunesse adhérentes au CNJG, le président de cette instance, Dariss Nyoudou Souza, a décliné toute la démarche ayant conduit, non seulement, à son élection, mais également à la mise en place du Bureau National Exécutif. A la suite de ces explications du président du CNJG, il a été clairement démontré que les deux pelés et trois tondus qui ont convoqué une assemblée générale extraordinaire le 17 juin en cours, ont carrément violé les textes. D’aucuns diront même que c’est du banditisme qui a été mis en avant pour organiser cette assemblée générale extraordinaire fantoche.
Cette façon de faire des comploteurs du CNJG, ne pouvait qu’amener les organisations de jeunesse présentes à la réunion du 19 juin, de dire leur réprobation devant ce qui a été fait le lundi 17 juin, par cette frange des malins en diable. Ces organisations de jeunesse affiliées au CNJG, face à cette situation de déstabilisation de leur organe, ont, à l’unanimité, réaffirmé leur soutien à celui qu’elles considèrent comme le seul et unique président du CNJG : Dariss Nyoudou Souza.
Voilà ce qui est clair, net et précis. Il n’y a pas deux khalifes au CNJG, plutôt u seul