Enseignement supérieur : le déménagement des campus n’entame pas le moral des troupes.

A l’Institut des Hautes Etudes Managériales (IHEM), les déménagements des campus ne perturbent en rien la poursuite des cours. A preuve : à son campus de Nzeng-Ayong, dans le 6ème arrondissement de Libreville, le lundi 3 juin2024, ont débuté les cours de rattrapage, avant de terminer la fin d’année académique avec les examens.

Une délocalisation qui a été faites selon les règles de l’art.

En effet, dès 7h30, le personnel administratif a envahi les locaux du site IHEM Nzeng-Ayong, pour procédé à l’orientation des étudiants arrivant pour la première fois dans ces locaux, vers les salles de classe en fonction de leurs filières, afin de poursuivre le programme fixé.

Bien avant le lancement des enseignements, devant le personnel administratif et pédagogique et les étudiants, Boukango Paul Merjeul, enseignant de lettres et chargé du service de la scolarité au groupe IHEM, a tenu à préciser certaines choses : « En cette matinée, les choses s’annoncent plutôt bien. Et nous savons que ça n’a pas été quelque chose de facile. Y’a juste quelques  jours  que nous avons laissé aux étudiants le temps de repos, afin de perpétrer la nouvelle liée à ces déménagements ». Puis, Boukango Paul Merjeul d’ajouter : « Nous croyons et nous sommes d’avis que ça se passera bien dans les jours à venir parce que la rentrée est effectif aujourd’hui pour les classes qui le restent, notamment les premières années de comptabilité banque et assurance, santé et également QHSE. Et nos programmes n’ont pas changé sur le plan horaire. Les cours débutent bien évidemment à partir de 8h30 et se poursuivront jusqu’à 19h, sinon 20h ». Et qu’ensuite, a encore indiqué Boukango Paul Merjeul que « les enseignants sont bien pris en compte, le corps administratif également, et sans oublier les étudiants qui sont là ce matin. S’agissant de l’aspect psychologique, en effet : Ce n’est pas un élément à oublier. Ce n’est pas toujours facile de se délocaliser. Vous savez, lorsque on est déjà habité à un endroit, vous réhabilitez, vous réinventez un autre endroit n’est pas choses faciles pour les apprenants ». « Souvent, aller d’un endroit à un autre joue très souvent sur le plan psychologique, d’où la rencontre avec les étudiants et enseignants et le corps administratif pour la sensibilisation. Nous pensons que le message est bien passé et que les choses rentreront dans l’ordre. Histoire de laisser également les étudiants s’adapter aux locaux de Nzeng-Ayong, juste le temps de terminer l’année au sein du groupe IHEM », a conclu  Boukango Paul Merjeul.

Une prise de parole d’une grande importance qui a su faire montre de l’efficacité de  cet établissement relevé les défis.

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