Comment faire pour décourager une personne qui a la volonté de bien faire, avec détermination et dynamisme, afin de tirer vers le haut l’entité publique ou parapublique dont elle a la charge ? Tout faire pour l’empêcher de mettre en branle sa politique managériale, en usant des méthodes d’un autre âge. D’aucuns parleraient de mettre en pratique la sorcellerie, dont les africains affectionnent pour faire du mal à leurs prochains. Motif ?
L’actuel Directeur général de Gab’Oil, Louis-Gaston Aubame, est en train de faire l’amère expérience du cynisme de certains partisans du moindre effort, réticents aux réformes qu’il a décidées de mettre en branle, pour le bonheur de la maison, et in fine, pour tout le monde. Rien que pour ça, tout est fait pour le déstabiliser dans sa façon de vouloir changer les choses. Jusqu’à utiliser des artifices démoniaques ? Et pour cause.
Au nouveau siège social de Gab’Oil, au Bas-de-Gué-Gué, dans le 1er arrondissement de Libreville, il s’y passe des choses terribles. Du vampirisme à ciel ouvert. En plein jour, il y a plus d’une semaine, on a découvert un cobra vivant au parking dudit siège. Le reptile a été tué. Deux jours après le serpent, c’est au tour d’un groupe de hiboux, toujours en pleine journée, de carrément envahir le bureau du DG de Gab’Oil, pourtant situé au sixième étage. C’est que ces oiseaux de « malheur », ont évité tous les autres étages, pour seulement choisir celui où est logé le cabinet de Louis-Gaston Aubame. Là, encore, on a pu abattre un hibou, pendant que les autres ont fui.