Initié par le Réseau National des Femmes députés (RENAFD) il y a quelques jours, la campagne contre les violences faites aux femmes a fermé ses portes sur une note de satisfaction, ceci après plusieurs ateliers de sensibilisations.
Comme partout ailleurs, les formes de violences à l’égard des femmes entravent la réalisation de l’égalité de genre et l’autonomisation des femmes. Au Gabon, après plusieurs jours d’activisme en droite ligne avec la campagne internationale pour mettre fin à la violence faite aux femmes, le Réseau National des Femmes Député s’est réuni autour des experts pour le traitement de cette inégalité humaine. « On a engagé sur les questions de conventions internationales et les engament internationaux du Gabon, et comment ses engagements là sont domestiqués au niveau local, c’était l’occasion pour moi d’expliquer un peu le processus de signature et de ratification des traités et accords internationaux, et également de leur montrer un peu qu’est ce qui est attendu d’un pays, lorsque ce pays-là ratifie les conventions donc nous avons échangé autour de cette problématique là .» a souligné l’experte genre, Droits Humains et Développement Social Nicole Nguema Metogo.
L’attente des heureux violences à l’égard des femmes, une meilleur représentativité tout en améliorant son cadre tels sont les objectifs visés par le Réseau National des Femmes Député, car les conséquences des violences contre les femmes vont bien au-delà des souffrances physiques et mentales immédiate.